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La diorite orbiculaire.
de Sainte-Lucie de Tallano
(Corse du Sud)



Sceau
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Ouvrages en vente
de Marie-Pierre Manet






Pourquoi j'ai choisi spécialement cette diorite ?

Messieurs les géologues, laissez moi mon secret mais sachez simplement qu'il n'y a pas de hasard dans la vie
.



La diorite orbiculaire de Sainte Lucie de Tallano.

On donne, parfois, à la diorite orbiculaire connue dans le monde entier, et qui est, de loin, la plus célèbre des roches ornementales corses, le nom de Corsite ou Napoléonite.

Elle est caractérisée par la présence d'orbicules : petites boules sphériques ou ovoïde possédant un noyau grenu entouré de couches concentriques alternativement composées de feldspaths blancs en baguettes rayonnantes et de minéraux ferro-magnésiens sombres.

Histoire d'une découverte.

La découverte du "granit" orbiculaire date de 1785. Ce furent les élèves des Ponts et Chaussées, sous les ordres de Monsieur de Barral, ingénieur en chef, qui rencontrèrent le premier bloc, isolé, arrondi et en partie enfoncé dans la terrre, sur une petite éminence dans la plaine de Taravo.

Étonnés, ils admirèrent la beauté et la rareté d'un tel "granit", en présence de plusieurs paysans corses, et advertirent leur chef, M. de Barral, qui cultivait l'Histoire Naurelle, et formait une collection de minéraux de la Corse. Mais à peine les ingénieurs se furent-ils retirés, que les paysans qui les avaient entendus s'extasier sur cette pierre, commencèrent à la dépecer. Il fallut que le commandant de Sartène, M. de Sionville, envoyât un piquet de soldats pour empêcher la destruction du bloc, lequel pesait au moins deux cents livres !

MM. de Barral et de Sionville eurent de beaux échantillons qu'ils envoyèrent en France à M. le prince de Condé pour sa collection...

L'originalité de cette roche, surtout lorsqu'elle fut polie, la fit très rechercher pour les cabinets d'Histoire Naturelle et elle ne tarda pas à devenir rare et d'un prix élevé.

Le gisement

Cependant, malgré de nombreuses recherches, le gisement resta longtemps inconnu. Il fallut attendre un quart de siècle (vingt-quatre ans) pour le trouver enfin !

Enfin, ce n'est qu'en 1809 que M. Mathieu, capitaine au corps impérial d'artillerie, découvrit en place une roche ayant le même aspect que celle trouvée en 1785.

D'après les Annales du Museum, la description de la roche est la suivante :

Cette superbe production vient d'être enfin trouvée en masses assez considérables dans l'arrondissement de Sartène, propriété de M.Jean-Paul Rocca Serra ; son gisement est aux trois quarts d'une montagne rapide, dont il est un accident isolé ; il est en blocs arrondis par suite de la décomposition, lesquels blocs sont compris dans un espace qui n'a plus de quatre cents mètres carrés.

Toujours d'après les Annales du Museum, la description de la roche est la suivante :

M. Mathieu reconnut, avec surprise, malgré la grande quantité de lichens qui les recouvraient, des masses de granit enveloppant des sphéroïdes de diverses grosseurs ; la plupart des morceaux de cette roche tenaient encore par leur base, à la masse du granit gris ordinaire de la montagne. Les plus petits globules, à cercles concentriques peu prononcés, étaient les plus voisins de la montagne ; ensuite ceux de grandeur moyenne à cercles concentriques de feldspath blanc et d'amphibole bien prononcés ; enfin, ceux de la partie supérieure étaient les plus gros, et presque entièrement composés de feldspath blanc.

M. Mathieu ne trouva des globules que sur un espace d'environ 100 mètres carrés et rencontra tout autour le granit gris, ce qui, joint aux recherches multipliées qu'a faites cet officier, le porte à croire qu'il n'y existe pas d'autres " granites globuleux", et que les blocs détachés qu'il a trouvés dans le même lieu, étaient primitivement fixés sur le " granite" de la montagne de Sainte Lucie.

M. Mathieu estime qu'il y en a sur la montagne environ 500 mètres cubes de la qualité à globules blancs et 56 mètres cubes des belles qualités dont les globules varient en grosseur à savoir un gros blos d'environ 8 mètres cubes, huit de 3 mètres et demi, six de 2, et seize d'environ un mètre cube.

En 1845, L. Pareto trouve dans la région de Tallano, et plus spécialement dans la localité d'Olmiccia, une diorite orbiculaire appelée par les paysans "a pietra occhiata" ; elle correspond à un filon d'épaisseur médiocre qui traverse le granite commun ; le phénomène des orbicules est limité à quelques mètres.



Particularités de la diorite :
La diorite a la particularité d'absorber les ondes négatives. Pour la purifier, il faut la tremper dans de l'eau distillée environ tous les quarts d'heure ou vous pouvez l'exposer les jours de pleine lune. En Corse, elle est la pierre "Porte-Bonheur". Elle apporte la Paix. Le magnétisme se fait au niveau des cercles concentriques. C'est le plus beau cadeau que l'on ait pu m'offrir car elle m'a permis de me révéler des dons insoupçonnés. Elle guérit les corps. Elle guérit les âmes..... Chut, je n'en dirai pas plus.

Peuple des cagots dont je suis fière d'être issue merci pour avoir fait surgir du plus profond de la terre la diorite..... ma diorite. Elle m'était destinée pour qu'enfin je puisse la tenir dans mes mains. Dans d'autres mains, elle n'aurait eu aucuns effets.

Peuple des cagots qui avaient tant souffert de la Haine... que la diorite apporte la Paix à tous les Hommes de la Terre car il n'y a que dans l'Amour (avec un A majuscule) que l'on peut vivre.



J'ai fait un beau rêve : il n'y avait qu'un seul peuple sur terre. Il n'y avait plus de blancs, de noirs, de métis, de jaunes : nous étions tous unis.

Le secret du Bonheur est au fond de notre cœur. Alors écoutez le silence de la Paix et vous verrez la plus belle lumière que personne n'ait encore pu imaginer.

Il faut bien commencer par le Bonheur (Bonne Heure) pour être enfin Heureux.








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Entraide apportée par :
- La mairie de Santa Lucia di Tallano en Corse du Sud.

© Marie-Pierre MANET





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